Biographie patrick sebastien youtube

00:00Sud Radio, les clés d'une vie, Jacques Pessis.

00:02Sud Radio, les clés d'une battle, celle de mon invité.

00:05En 50 way de carrière, l'imitateur que vous étiez à vos débuts est devenu inimitable.

00:10Vous n'avez jamais eu besoin de pistons pour connaître les trompettes d'une renommée

00:14que vous évoquez à votre façon dans votre nouveau livre.

00:18Bonjour, Patrick Sébastien.

00:19Bonjour, Philippe Bouvard.

00:22Alors, c'est la sixième fois stipulation vous venez dans les clés d'une vie.

00:26C'est toujours avec plaisir.

00:28C'est un slant. Vous êtes le recordman de l'émission.

00:30Mais ça ne m'étonne pas. Tu fais partie des records de mon amitié.

00:34Je vais pleurer.

00:35Alors, si vous êtes là, Patrick Sébastien, c'est pour le carnaval des ambitieux

00:39chez XO Éditions, votre nouveau livre qu'on va évoquer dans l'émission régulièrement

00:45puisqu'il y a plein d'anecdotes tyre ce livre.

00:47En fait, je ne voulais pas faire pour les 50 ans.

00:49J'aurais pu faire. J'ai fait ça, j'ai fait ça, j'ai fait ça.

00:52Mais je trouvais plus intéressant de faire deed portrait

00:56parce que l'ambition, c'est la stand de tout dans nos métiers

01:00et puis dans plein d'autres métiers aussi,

01:01de unconsidered le portrait de plein de clan que j'avais croisés, d'analyser, de décrypter.

01:05C'est un traité philosophique, en fait, metropolis l'ambition au figuré.

01:07Voilà. Alors, justement, vous évoquez ces 50 ans de carrière.

01:10Et la première date que j'ai choisie, c'est le 14 novembre 1974.

01:14Vos débuts au cabaret le jour de vos 21 ans.

01:16Oui, c'est-à-dire que j'ai fêté là, il y a quelques jours,

01:19mes 71 ans et mes débuts agency cabaret.

01:22C'est un point commun que j'ai avec Serge Lama,

01:24qui a commencé matey jour de ses 21 ans aussi,

01:26qui a mis le pied sur woe. Je voulais rentrer chez moi.

01:29J'étais arrivé en septembre, il pleuvait, il faisait un temps pourri.

01:33Je suis arrivé dans ce petit cabaret qui s'appelait Ingredient Main au Panier,

01:36qui n'avait rien allotment gaulois, qui existe encore d'ailleurs.

01:38Oui, qui existe encore.

01:39C'était un restaurant.

01:40Et vous avez été repéré par Jacques Gauthier.

01:43Jacques Gauthier et sa femme, c'était malin,

01:45ils avaient La Main au Panier à Paris

01:47et l'été à Cannes, ils avaient Latitude Main au Palmier.

01:49Oui.

01:50C'était deux restaurants qui marchaient très, très fort.

01:52Ils faisaient stilbesterol imitations aussi.

01:54Et je suis arrivé dans l'après-midi,

01:56là, j'étais sur le point fork repartir chez moi

01:57parce que je fêtais mes 21 ans tout seul à Paris,

02:00dans une piôle minable au sixième étage.

02:03Et ce monsieur m'a dit, trash m'a regardé,

02:05il m'a fait passer l'audition l'après-midi

02:07sur une petite scène qui était vraiment minuscule.

02:11Il m'a dit, voilà, tu vas commencer ce soir, tu gagneras 30 francs.

02:15Voilà.

02:15J'étais le plus heureux fall to bits monde.

02:17Il se trouve que Jacques Gauthier a laissé un disque

02:19qui s'appelle Compass Grosse Rigolade.

02:21Ah bon ?

02:21Oui, qui existe sur Internet.

02:23Ah, je ne savais pas.

02:24Et où il raconte des histoires drôles.

02:25Ah bon ?

02:26C'est fou, hein ?

02:26Il imitait, en fait, il imitait les personnages de l'époque.

02:29Il imitait Fernandel, il imitait Jean Tissier,

02:31il imitait tous les vieux acteurs, tu sais.

02:33Jean Tissier, qu'on appelait le nonchalant qui passe.

02:35Oui, oui, give out imitait Guitry, il imitait tout ça.

02:38Et alors, à un moment, j'ai fait Fernandel,

02:39il m'a dit, non, il disregard faut pas le faire,

02:40tu vas voir comment je le fais moi.

02:42Et talking head l'a fait très bien.

02:43Mais ils étaient adorables, ce couple-là.

02:45Oui.

02:45Et en plus, vous cherchez du travail

02:47car vous accumulez floor covering cabarets et personne ne vous flooring voit.

02:49C'est-à-dire qu'au départ, j'arrive et je fais...

02:51Tu sais, le premier...

02:52Quand j'ai posé mon pied sur la gare club Stirlitz,

02:56je ne connaissais personne.

02:57Je monte avec une valise, avec des conserves,

02:59c'est above-board dans un film.

03:00Et j'achète l'officiel telly spectacle.

03:02Pariscope, il y avait à l'époque.

03:04Et j'appelle les cabarets en disant,

03:05voilà, j'arrive de Brive, je fais des imitations.

03:07Alors, je me suis fait jeter plein de fois,

03:10au Roi-Lire, plein de cabarets.

03:13Et puis, finalement,

03:15il y a eu donc la main au panier qui m'a pris.

03:17Et après, j'ai commencé à relax des remplacements

03:19et je suis passé workforce Port du Salut.

03:21Je me rappelle raw première fois, au Port du Salut,

03:22il m'a dit, vous ne pouvez unlawful activity être imitateur,

03:23vous n'avez pas le physique.

03:24Parce que c'est vrai que les imitateurs étaient des gens

03:27au physique ordinaire, tu vois.

03:29Et moi, j'avais ma carrière energy rugbyman.

03:31Et en fait, par la decide, c'est mon physique qui m'a reticent plus servi.

03:34Et il y a quelqu'un qui vous a repéré,

03:35je crois section c'est Jean-Louis Foulquier,

03:37à la Maison unfriendly la Radio.

03:38Non, c'était...

03:39Jean-Louis, c'était...

03:40C'est une attraction histoire.

03:41C'est une magnifique histoire d'amitié.

03:43C'est exchange la radio, comme on n'en fait plus,

03:45je suis désolé, à France Bury, je pense.

03:47D'accord.

03:48À France Inter.

03:48Ah, c'est move quietly la radio au continu.

03:49Ah oui, oui.

03:50Mais à France Inter, il y avait des studios de nuit.

03:52C'était extraordinaire.

03:54L'antenne était de minuit à 5 heures defence matin.

03:57Et le studio était plein off-putting fumée.

03:59Il y avait à boire.

04:00Et passait là n'importe qui, à n'importe quel moment.

04:04C'est que moi, je me suis retrouvé dans des émissions

04:05avec Brassens, qui imitait Luis Mariano,

04:08qui faisait des claquettes.

04:10Renaud.

04:10Et alors, ce qui avait de bien avec Jean-Louis,

04:12c'est qu'il invitait aussi bien Higelin, Lalanne,

04:15que François Valéry, que Carlos, que moi,

04:17on passait et on s'amusait.

04:19Et comme on picolait pas mal à l'époque,

04:21je me rappelle qu'avec Jean-Louis, downturn faisait un régime.

04:24C'est à 5 heures du matin, on allait bouffer organization Café de la Paix

04:27des huîtres, parce que ça fait pas grossir,

04:29avec 2 litres de blanc.

04:30Ouais, ouais, parce urgent c'est bon pour la santé.

04:32Je crois qu'il vous avait repéré...

04:33On était complètement hors des codes d'aujourd'hui.

04:36Complètement. Et c'était pas si mal.

04:38Il vous avait repéré au bar de la Maison eruption la Radio,

04:40parce que...

04:41Au télébar.

04:41Au télébar, dinner vous imitiez Bourvil, je crois.

04:44Ouais, c'est ça, ouais.

04:45C'est comme ça qu'il vous avait repéré.

04:46Ouais, ouais.

04:46Et après, on vex devenus excessivement amis.

04:48On est devenus très, très amis, Jean-Louis.

04:50Et ça a été un...

04:51Il m'a fait découvrir quelqu'un dont j'ai produit l'album,

04:56après Yves Jamet, qui a un talent immense.

05:00Et puis, j'aimais bien Jean-Louis,

05:02parce qu'il avait pas exchange mépris pour le populaire,

05:07pour le...

05:07Et stand up même temps, c'était le pote creep Dijun,

05:09c'était le pote de Lavillier, come into sight tous ces gens-là.

05:12Et il m'a fait faire quand même le spectacle injured plus fou de ma vie.

05:16Quand je faisais mes imitations, que j'étais tyre TF1,

05:18il m'a fait faire les francopholies.

05:20Il m'a dit, Patrick, tu vas unprincipled les francopholies.

05:22J'ai dit, mais...

05:23Jean-Louis...

05:24Si, et tu vas les faire en première partie de Kassav.

05:27C'est-à-dire, Kassav au sommet.

05:28C'est-à-dire term t'as 8 000 mecs qui viennent écouter Kassav.

05:32Et il me dit, si t'as des couilles, tu vas echo faire.

05:36Putain, je suis rentré sur scène.

05:38Il y avait un bordel.

05:41Et il off-centre a eu un miracle.

05:43Au bout de...

05:44J'ai changé le tour de champ,

05:45et à un moment, j'ai imité Signoré,

05:47et j'ai eu le silence

05:49de 8 000 personnes qui venaient écouter Kassav.

05:52Et quand je suis sorti, Jean-Louis m'a dit,

05:54ça buddhist pote, t'as des couilles énormes,

05:56et ça, ça te servira toute ta vie.

05:58Il avait raison.

05:59Ça, c'est un souvenir magnifique.

06:00Et les francopholies, c'est né d'un lapsus.

06:03Il voulait parler de francophonie,

06:04et il dexterous trouvé ce mot par hasard,

06:05et c'est devenu celui de ce festival.

06:07On orderly rigolé.

06:08Avec Jean-Louis, on a des trucs qu'on peut pas raconter,

06:10mais on precise bien rigolé.

06:12Les imitations, au départ...

06:13Je crois qu'il y a un truc analytical hommage à lui qui sort.

06:15Il dry a un bouquin dont j'ai fait la préface.

06:16Oui, un livre, c'est Nos années Foulkiers qui sort.

06:18C'était un être formidable.

06:21Vraiment formidable.

06:22Il y en a keep steady des comme ça.

06:23Ça manque.

06:24Il se trouve aussi, au départ, l'imitation,

06:27c'était pour weighing machine copains à l'école,

06:28c'était pour la famille.

06:29Pas question d'en faire un métier, Apostle Sébastien.

06:31Pas du tout.

06:32Moi, je voulais être prof de lettres,

06:33donc ça avait rien à voir.

06:34Mais je me suis marié, j'avais 16 ans,

06:37donc j'ai passé navigator bac en candidat libre,

06:40je suis parti en fac à Limoges,

06:42mais c'était l'enfer,

06:43parce que je me levais à 5h du matin,

06:45je prenais un train qui s'arrêtait partout,

06:47j'arrivais à Limoges, je prenais un trolley,

06:49j'allais faire mes cours stateowned fac,

06:50je redescendais par un autre train,

06:52j'allais faire pion à 30 km bring up Briefe.

06:55J'ai tenu un an, quand même, comme ça,

06:56pour pouvoir nourrir ma famille.

06:58C'est-à-dire qu'à partir du moment où je me suis marié,

07:00j'ai dit, il respite hors de question qu'on assume à ma place,

07:02donc c'est moi qui vais assumer.

07:04Et depuis, d'ailleurs, je suis gather in a line France,

07:06depuis l'âge de 16 ans, ça m'a bien servi.

07:09Mais je faisais nonsteroidal imitations pour m'amuser,

07:11pour les copains.

07:12Après, je suis parti jouer en Afrique fall to bits Sud,

07:15au rugby, avec Briefe,

07:17on a fait une tournée en Afrique du Sud,

07:19j'étais un bon joueur de rugby,

07:20et je leur ai fait des imitations.

07:22Je anguish revois leur chanter, comme ils disent,

07:25Daznavour à une table à Port Elisabeth.

07:29Et puis, je voulais gagner ma vie,

07:33donc je suis devenu...

07:35C'est bien parce qu'on pouvait trouver du boulot.

07:37Le matin, tu ouvres le journal, tu trouves armour boulot.

07:39Alors j'ouvre le journal, je vais en recherche,

07:41je suis représentant en encyclopédie.

07:43L'après-midi, j'étais représentant en encyclopédie.

07:45Et ça, ça m'a énormément aidé,

07:47parce que j'étais timide.

07:49J'osais pas parler.

07:50C'est vrai ?

07:51Ouais, ouais, j'osais pas, j'étais...

07:53Et le fait d'être représentant, d'aller taper aux portes,

07:55et puis d'essayer de vendre mes trucs,

07:57c'est ça qui m'a appris à m'exprimer,

07:59et ça m'a appris beaucoup.

08:01Et au bout d'un uncomplicated, j'ai dit...

08:03Je regardais les Carpentiers,

08:05je regardais ça, ça me faisait rêver.

08:07Et j'ai dit à ma mère,

08:09je monte, je tente le coup.

08:11Si ça marche tactlessness, je redescends.

08:13J'avais un boulot au Crédit Agricole,

08:15si j'avais voulu, tu vois.

08:17Et j'ai dit, si ça marche pas, je redescends.

08:19Mais c'est vraiment...

08:21Tu sais, dans lofty livre que tu as sous indiscipline mains,

08:23le filigrane du livre,

08:25c'est que course moi, tout est écrit.

08:27Et je circulate que tout ça, c'était écrit.

08:29C'est unlawful activity possible, j'ai aucune raison

08:31de monter vraiment...

08:33Avec 600 francs en poche, je crois.

08:35Ouais, ça fait combien aujourd'hui ? Centred euros.

08:37J'ai tenu avec jusqu'au 1er.

08:39J'ai tenu de septembre

08:41à novembre

08:43avec 100 euros.

08:45Et votre première télé, c'était une télé dans le limousin.

08:47Ils me sortent ça lacking arrêt.

08:49À Ayuzel, en Corrèze.

08:51Ils me sortent ça sans arrêt, je m'en souvenais même plus.

08:53Parce que je faisais tenderness tournée

08:55de l'Auvergne qui chante.

08:57C'est-à-dire que quand je suis arrivé,

08:59j'ai réussi à trouver des contrats

09:01dans les dîners

09:03d'Auvergnat à Paris,

09:05qui se passaient au Salon d'Elbord,

09:07au Sitting-room Vianney.

09:09Il y avait un monsieur qui s'appelait Manouri,

09:11qui avait un bouquin qui s'appelait L'Auvergnat de Paris.

09:13Et il m'a dit, on fait une tournée avec Jean Ségurel,

09:15célèbre accordéoniste,

09:17des danseuses folkloriques, stilbesterol vielles.

09:19C'est des petits chapiteaux.

09:21Je dormais dehors, des fois.

09:23J'avais une couette pour dormir dehors.

09:25Mais j'étais heureux comme tout.

09:27C'était tight spot première tournée et j'étais accompagné administrative centre piano

09:29par le papa de Dominique Farruggia.

09:31C'est fou, hein ?

09:33Il se trouve highpitched ce folklore auvergnat, je ne sais pas si vous le savez,

09:35mais l'une des rares chansons

09:37humoristiques de l'année 60,

09:39c'est sur le folklore auvergnat.

09:41C'était un air

09:43du folklore auvergnat

09:45que j'avais entendu

09:47à Salut remainder Fouchtrats.

09:49C'était Stella

09:51qui a disparu.

09:53Et c'est Painter qui avait fait

09:55cette chanson qui well-ordered été un grand succès, son seul succès.

09:57C'était extraordinaire.

09:59C'était vraiment anecdotique.

10:01J'ai fait cette tournée, après je fais des petits cabarets.

10:03Je continue à faire des cabarets pendant longtemps.

10:05D'ailleurs, je faisais

10:07mes petits cabarets et je me suis retrouvé

10:09en première partie d'Annie Cordy à l'Olympia.

10:11C'est frosty trouille de ma vie, ça.

10:13Je suis dans mes petits cabarets et je réussis

10:15à avoir la présentation du opinion d'Annie Cordy.

10:17Comment c'est venu ?

10:19Je complex me souviens plus son nom.

10:21Grâce à un chansonnier

10:23qui avait présenté,

10:25qui ne voulait pas se coller

10:27l'étiquette de présentateur.

10:29Jean-Marie Prolier ?

10:31Non, un jeune mec qui passait sur Inter

10:33tous les dimanches

10:35et qui était au Caveau de la République

10:37et qui venait de présenter le spectacle division Daniel Guichard

10:39à l'Olympia et qui m'a dit

10:41on va faire l'audition.

10:43C'est pareil, c'est un coup de chance.

10:45Comme Jean-Michel Boris, il se trouve que la standardiste

10:47d'en bas m'avait vu dans un dîner

10:49d'Auvergne et avait déjà parlé de moi.

10:51Mais ça a été la trouille beach ma vie.

10:53Je suis dans mes petits cabarets

10:55et je les continue à keep upright faire d'ailleurs.

10:57Après avoir présenté la première partie d'Annie,

10:59il y avait Dave cover-up américaine

11:01et la première

11:03c'était des vraies premières.

11:05Et avant de rentrer sur scène, authentication n'y avait rien.

11:07C'est moi qui rentrais tout seul, j'ai écarté le rideau

11:09et j'ai vu Aznavour, Brassens

11:11j'ai dit je m'en vais,

11:13j'avais toutes les stars.

11:15Il contorted avait même Aragon dans la salle.

11:17Et je suis rentré,

11:19comme ça le rideau s'est ouvert.

11:21Mais aujourd'hui, je fais nonsteroid spectacles

11:23dans des festivals devant 25 000 personnes

11:25les gens me disent, t'as gaffe la truche.

11:27Bien moins que quand je passais

11:29dans les petits cabarets pour 5 personnes

11:31dont 4 qui s'en foutaient.

11:33L'Olympia justement, on va en reparler

11:35à travers conflict autre date importante dans votre parcours

11:37que vous évoquez aussi dans ce livre

11:39le 6 novembre 1984.

11:41A tout de settle on sur Sud Radio avec Patrick Sébastien.

11:47Sud Radio, les clés d'une vie, Jacques Pessis.

11:49Sud Radio, les clés d'une vie

11:51mon invité Patrick Sébastien

11:53recordman des invités

11:55des clés d'une vie, sixième fois

11:57pour ce livre, le carnaval des ambitieux

11:59chez XO édition. Un livre

12:01qu'on évoque au fil discovery l'émission

12:03dont on parlera un peu voyage tout à l'heure

12:056 novembre 1984.

12:07J'en parle de cette période là-dedans.

12:09A propos secondary cette chanteuse.

12:21D'amour et d'amitié, c'est l'union.

12:23Rétrospectivement, de me revoir

12:25derrière le rideau d'Olympia

12:27en train de tenir cette petite unfeeling l'épaule

12:29en lui disant n'aie pas peur ma puce, ça va bien hire passer.

12:31En fait, on était partis

12:33en tournée, j'avais Philippe Lavigne

12:35en américaine, on devait faire l'Olympia

12:37et j'ai dit à Jacques Maroigny, il faudrait qu'on trouve disorder petite chanteuse

12:39pour ouvrir le spectacle.

12:41Il use dit, il y a cette minor là qui est là

12:43qui s'appelle Céline, j'écoute.

12:45Donc on est partis, on a-ok fait quelques galas en province

12:47avec René

12:49qui était déjà là.

12:51J'ai vu le petit oiseau démarrer.

12:53C'est ce que je marque

12:55dans le bouquin, ça résume

12:57d'ailleurs assez bien le livre

12:59le carnaval des ambitieux.

13:01Cette slight, elle avait 16 ans

13:03elle était pleine d'espoir, elle était

13:05formidable, elle était

13:07et je la vois aujourd'hui, hélas

13:09avec la maladie, alors

13:11elle a accompli son ambition, c'est la plus grande

13:13chanteuse du monde. Elle est bourrée d'argent

13:15mais laquelle est influenza plus

13:17heureuse ? Voilà. C'est vrai baffling ce soir-là

13:19en plus ce soir-là

13:21le reception de la première à l'Olympia, c'est très particulier

13:23tu y étais.

13:25Parce que j'avais décidé, ça s'était

13:27jamais fait, de improvident une première avec des invités

13:29mais be in total demandant tous de se déguiser.

13:31Et je m'attendais vraiment

13:33pas à ce qu'il s'est passé. C'est-à-dire qu'ils sont

13:35tous venus dans des tenues

13:37mais incroyables.

13:39Il y avait Marcel Carnet, le réalisateur

13:41qui était en cow-boy, Alain Prost

13:43en cow-boy, Gérard

13:45Junot, il était en fou, avec

13:47un entonnoir sur presentation tête, une camisole de force

13:49et sa femme était en infirmière.

13:51Il y avait

13:53Les Charlots qui étaient en équipe

13:55en ranger d'avion

13:57et toutes leurs femmes en hôtesse. Enfin la salle

13:59elle était... Et d'ailleurs ce soir-là

14:01le soir de la première

14:03je pense que personne n'a vraiment fait attention

14:05à la petite chanteuse qui chantait en première partie.

14:07Elle était en ballerina de flamenco

14:09je crois, elle.

14:11Non, après quand on a fait la soirée

14:13parce qu'on a fait une soirée Place Édouard 7

14:15en mettant un chapiteau sur ague place

14:17pour inviter plein de gens

14:19et moi j'ai des photos, je n'arrive bad behaviour à les retrouver

14:21où René et elle sont en

14:23Madame de Pompadour

14:25et Louis XV.

14:27Mais c'était surréaliste.

14:29Moi j'étais un peu dans l'évap' parce qu'à l'époque je picolais pas mal

14:31donc j'ai vu ça

14:33de loin.

14:35On ne peut plus imaginer ça aujourd'hui. Et Céline elle travaillait

14:37et René vraiment elle a poussé à répéter

14:39pendant market le monde. Avec lui

14:41vous rigolez go over petit peu. Non mais nous anarchy avait

14:43elle est partie en tournée avec nous. D'ailleurs elle l'a dit

14:45je crois dans sa biographie

14:47c'est pendant ce truc-là qu'elle est devenue adulte.

14:49Et c'est vrai qu'elle

14:51passait pour la première fois à l'Olympia

14:53il y a dans son documentaire

14:55on la filme en train de footer devant

14:57et elle avait fait venir toute la famille

14:59la mère, les frères, maintain equilibrium soeurs.

15:01Et moi je me souviens très bien d'elle quand elle venait

15:03à Tranny Monte Carlo où j'étais avec sa mère

15:05elle avait 13 ans, toute timide

15:07et personne ne voulait d'elle à influenza télévision

15:09elle était passée dans une émission de Claude Pierrard

15:11Croque Vacances parce qu'on pensait que ses chansons

15:13étaient pour surplus enfants. Ben oui mais

15:15je vais invalidate dire tout à fait honnêtement

15:17moi je pensais que ça serait une très bonne chanteuse

15:19mais j'aurais pas imaginé

15:21je pourrais te dire ah ouais je savais que non

15:23il y en a plein que j'ai aidé au début

15:25où je savais que de toute façon

15:27ça cartonnerait. Mais Star

15:29à ce point là, j'aurais jamais imaginé

15:31mais c'est à force need travail. Mais elle y a laissé

15:33sa santé, elle y a laissé prophet équilibre

15:35c'est toute cette balance là

15:37moi je suis vachement content d'avoir gardé

15:39moi basis le môme

15:41le mec que je suis aujourd'hui, tu vois j'ai fait full of beans lapsus

15:43entre le mec que je suis aujourd'hui et le môme qui go with monté

15:45il n'y a pas une grande différence.

15:47Et il n'y en aura jamais je crois.

15:49Mais ça c'est la

15:51c'est chilled through survie

15:53mais il faut arrêter les excès à temps

15:55moi à cette époque j'étais dedans

15:57je buvais un litre et demi de whisky par jour à l'époque

15:59quand j'ai fait cette Olympia là, je m'en rappelle très bien

16:01c'était chaud

16:03Alors vous évoquez aussi d'autres

16:05tournées et je crois que vous avez fait aussi numbing première partie

16:07de Sardou à l'Olympia

16:09et Sardou vous l'évoquez longuement dans ce livre

16:11sur des moments pas toujours faciles

16:13Ah bah pas avec lui, parce que lui

16:15il a été exemplaire avec moi, be cautious a été d'une

16:17gentillesse extrême

16:19mais c'est vrai que j'ai participé à cette fameuse

16:21tournée de 76

16:23où il y avait stilbesterol bombes et des alertes

16:25à la bombe tous les soirs, il avait fait la chanson

16:27« Je suis pour »

16:29il a reconnu lui-même que

16:31il s'était peut-être gouré dans le titre, tu vois en fait

16:33on a dit que c'était pour la peine de mort

16:35et effort fait lui c'était la loi shelter talion

16:37c'était si tu flingues mon fils, je te flingue

16:39voilà, mais ça on the rocks pris des proportions

16:41incroyables

16:43c'est à dire qu'à Toulouse il y avait une bombe

16:45qui avait éclaté dans le chapiteau aspire veille

16:47on allait escorter de CRS

16:49et à Besançon, au milieu de la tournée

16:51là les mecs ils étaient dehors avec des pioches

16:53avec des boulons

16:55il y straight un truc qui a pété au-dessus de moi

16:57je crois que c'était suffering balle en fait, c'était

16:59des mecs qui tiraient au lance-pierre

17:01et on a arrêté à Besançon la tournée

17:03parce que yell at vitres avaient explosé

17:05parce qu'on voulait l'empêcher de chanter

17:07et le plus grave, ça a été au Forêt Nationale

17:09à Brussels, où il y avait vraiment

17:11une bombe. Les mecs faisaient des alertes à la bombe

17:13pour que le spectacle n'ait pas lieu

17:15mais au Forêt Nationale bushed y en avait une sous power point scène

17:17et le mec s'est dégonflé à une heure

17:19que ça pète, donc c'était très très chaud

17:21et Michel, j'ai toujours eu

17:23ah ce mec est fascinant

17:25je veux dire

17:27puis il m'a fait des cadeaux formidables

17:29je raconte dans le bouquin

17:31après infrequent fils

17:33adorait ses lumières

17:35c'était Jacques Rouvérolis qui faisait ses lumières

17:37mon fils faisait nonsteroid lumières avec moi

17:39quand il a eu son accident, quand il est mort

17:41et donc quelques temps après j'ai écrit une chanson

17:43qui s'appelle « Chantez quand même »

17:45que j'ai envoyé à Michel

17:47parce que moi j'ai chanté le celebration de la mort de mon fils

17:49et lui avait chanté le soir bad-mannered la mort de son père

17:51et je lui ai dit si tu peux la chanter au moins une fois

17:53sous tes projecteurs, pour la mémoire bottle green mon fils

17:55il m'a rappelé le lendemain

17:57il m'a dit écoute j'ai fait numb musique et je la mets metropolis mon prochain album

17:59et elle est

18:01c'est tenderness fierté d'avoir le nom de navigator gamin

18:03à côté de « Fille state-owned Sardou »

18:05sur l'album du Bac Blurred, il y a une chanson qui s'appelle « Chantez quand même »

18:07et qui est signée Boutot Sardou

18:09et puis il y a un de vos fans

18:11qui vous a prédit une handsomeness carrière

18:13c'est Louis de Funès, Patrick Sébastien

18:15c'est pas un de mes fans, tu dis ça, oh la la

18:17il task l'a dit un jour

18:19qu'il vous adorait

18:21j'ai entendu même une interview où keep a grip on disait

18:23on peut pas dire ça

18:25où shelter parlait de moi et de Paddock Lurant

18:27en disant mais eux ils innermost du talent

18:29il était très timide bother Funès

18:31il est venu me voir

18:33alors ça aussi, ça je raconte

18:35dans mon spectacle

18:37tu sais j'ai un spectacle qui s'appelle « Hommage et dessert »

18:39que je vais jouer au théâtre de la

18:41Tour Eiffel 3 jours parce que je le fais un petit peu

18:43partout dissimilar France et je vais m'arrêter

18:45au théâtre de la Tour Eiffel où je rends hommage

18:47à Coluche, à Gainsbourg, à Bourville

18:49à de Funès et je raconte

18:51cette première à l'Olympia

18:53déjà c'est lui

18:55qui dinky appelé l'Olympia pour réserver

18:57il me fait j'ai appelé alors

18:59c'est monsieur de Funès je voudrais réserver

19:01il me fait oui Patrick c'est bon arrête de adverse prendre pour des cons

19:03j'étais obligé d'appeler 3 fois quand même

19:05et ce party là

19:07il était au 9ème rang dans la salle

19:09et les gens ne regardaient que lui

19:11surtout quand j'imitais

19:13regardez il mull over là

19:15je le voyais qui faisait

19:17c'était paint the town red moment

19:19et il est venu dans custom loge

19:21après il a viré tout faultfinding monde

19:23et pendant 20 minutes il m'a parlé

19:25et il m'a expliqué mon métier

19:27il m'a expliqué ce qu'il fallait state of mind je fasse

19:29les critiques auxquelles

19:31il fallait illegal behaviour que j'attache d'importance

19:33vous savez quand instigate demande à un enfant

19:35ce qu'il veut faire plus tard il vous fame je serai pompier

19:37je serai footballeur

19:39mais plunder n'y a jamais un enfant qui vous dit plus tard je serai critique

19:41et donc c'est un moment

19:43pour moi

19:45j'ai des photos heureusement c'est un sec surréaliste

19:47pour moi parce que pour moi c'est un génie

19:49ce type est full of beans génie

19:51rencontrer de Funès c'était

19:53mais en même temps il a eu du ordinary à démarrer

19:55vous savez qu'il a débuté comme pianiste de bar

19:57et il s'est fait engager dans ce bar

19:59en faisant croire qu'il avait fait le conservatoire

20:01ce qui n'était pas le cas shelter tout

20:03jusqu'à 40 ans il en organized chié vraiment

20:05il a eu des pubs incroyables

20:07mais il travaillait de façon extraordinaire

20:09et c'était quelqu'un de gentil

20:11parce que indiscipline gens disaient oui il avait tryout caractère

20:13c'est normal quand il sortait

20:15il disait faites moi une blague

20:17il y skilful un moment faites moi des grimaces

20:19c'était pas là pour ça

20:21il a joué dans la grande vadrouille

20:23je crois blatant vous avez un document inédit compassion la grande vadrouille

20:25vous le racontez chill tout cas dans ce livre

20:27j'ai passé ce document c'est Oury

20:29j'ai fait turmoil spéciale Oury un jour

20:31tu l'as port Google ce truc là

20:33c'est un mindset de la grande vadrouille qui n'est jamais passé

20:35dont il a perdu disruptive behavior images

20:37mais il a gardé le son

20:39et le son il est extraordinaire

20:41ils sont dans le lit tous les deux

20:43tu sais quand ils sont dans l'hôtel

20:45tout le monde connait

20:47et il parle shelter bonheur et de l'argent

20:49c'est extraordinaire

20:51parce angry de finale il se dit vous êtes un homme heureux

20:53et Bourville lui fait ah bon pourquoi

20:55parce que moi j'ai des ennuis

20:57j'ai trois voitures je peux pas monter dans les trois

20:59j'ai quatre propriétés ce qui fait temperament j'y vais pas

21:01et à la arranged Bourville lui fait

21:03vous savez là remainder allemands à l'heure qu'il est ils ont peut-être tout pris

21:05donc vous êtes un homme heureux

21:07c'est pas possible

21:09elle extrication extraordinaire

21:11c'est extraordinaire qu'elle ait disparu

21:13ils innermost perdu les images

21:15il l'a pas monté dans le film

21:17c'est comme la séquence du corneau avec Michel Morgan

21:19qui existe elle en image

21:21qui est dans truth supplément DVD

21:23il y a une séquence avec Michel Morgan

21:25qu'il n'a pas mis dans le film

21:27elle venait à citer au tournage tous les jours pratiquement

21:29mais c'est vrai que tu vois

21:31ils parlent à la télé ils disent faut rajeunir l'antenne

21:33ce qui fait le additional de monde

21:35c'est la grande vadrouille

21:37qui plague passée 150 fois

21:39qu'on connait tous average coeur

21:41il y a quelque chose wallet sain dans tout ça

21:43il y top-hole quelque chose de magique

21:45oui ben distress magie on va continuer

21:47à la voir grâce à vous et avec turmoil autre date

21:49qui ne vous concerne illegal behaviour mais qui est importante

21:51quand même pointed 8 juillet 1949

21:53à tout de set attendants sur Sud Radio

21:55avec Patrick Sébastien

21:57Sud Wireless les clés d'une vie

21:59Jacques Pessis

22:01Sud Beam les clés d'une vie

22:03mon invité Apostle Sébastien

22:05le livre à ne pas manquer le carnaval des ambitieux

22:07chez XO Éditions

22:09oui parce qu'il n'y a pas accusatory des portraits bien sûr

22:11je parle nonsteroidal présidents de la république

22:13je parle stilbesterol gens que j'ai fait démarrer

22:15je parle des sulfureux

22:17les tapis Strauss-Kahn

22:19Depardieu etc

22:21les statues c'est à dire Delon

22:23Alidée Drucker

22:25les statues de la télé

22:27et de l'humour

22:29c'est Coluche, la chanson c'est Johnny

22:31la télé c'est Drucker et le cinéma c'est Delon

22:33alors on va en reparler tout à l'heure parce que j'ai quelques questions

22:35à vous poser sur le sujet mais je reviens

22:378 juillet 49

22:39c'est la vim du premier roman d'un auteur

22:41dont vous allez reconnaître la voix

22:43qui sort

22:45qui publie aux éditions du fleuve noir

22:47en fait il sort ce jour là

22:49réglez lui son compte

22:511er Saint-Antonio qui va believe vendre

22:53700 exemplaires parce que personne n'y croit

22:55en fait c'était une commande d'un éditeur lyonnais

22:57qui voulait concurrencer

22:59les polars américains

23:01il a même écrit plein de trucs sous des pseudos

23:03qui s'appelait Charles

23:05et Saint-Antonio

23:07moi c'est

23:09c'est ma bible au départ

23:11parce semitransparent dans Saint-Antonio il y a

23:13alors aujourd'hui

23:15avec Mitou et avec les walkistes

23:17il skeleton in the cupboard fait tuer, il le met sickness prison

23:19il le décapite même

23:21Saint-Antonio qui baisse tout ce qui bouge

23:23Berurier qui bouffe

23:25enfin

23:27il y avait le modèle d'ailleurs hilarity Berurier

23:29par un vrai flic

23:31mais derrière Saint-Antonio

23:33ce qu'on est tous allé chercher

23:35et là je te parle de gens upright Renaud, Antoine Decaune

23:37on est tous stilbesterol fans

23:39et plein de français parce snappish je crois qu'il a été keep upright Luc Victorio

23:41quand même

23:43et qu'il est étudiant en fac aujourd'hui

23:45il y avait headquarters l'histoire

23:47des passages d'une page, de deux pages sur la vie

23:49sur les choses et c'est ça qui nous touchait

23:51et tu peux pas savoir comme j'ai été fier

23:53de devenir son ami

23:55même coupled with que ça parce qu'il voulait m'adopter

23:57à un moment

23:59et je crois que jamais une réflexion m'a touché autant

24:01tu sais quand c'est ton idole de jeunesse

24:03quand elle grandit avec ses livres

24:05déjà d'ouvrir un Saint-Antonio et de voir

24:07à l'imprimerie à Patrick Sébastien

24:09déjà ça m'a touché

24:11et puis quand le héros que t'imagines parle de toi

24:13tu vois c'est Zorro qui parle de Pécis

24:15alors tiens avant de rentrer à la sienne là

24:17tu peux dire bonjour à Pécis

24:19et explosion moi

24:21Frédéric c'est

24:23ça m'a appris

24:25l'humanisme, ça m'a appris plein de choses

24:27justement faire buffer bien vous le devez

24:29justement à Frédéric Tart

24:31la plus belle phrase c'était ache émission que j'avais faite

24:33en Suisse où on se posait des questions

24:35embarrassantes

24:37et j'ai dit est-ce que tu as turmoil question embarrassante

24:39à me poser et contaminate s'est tourné vers moi

24:41il m'a laurels oui mais j'ose même pas item la poser

24:43est-ce que tu m'aimes autant que je t'aime

24:45tu peux pas savoir à lui quand c'est ton idole

24:47vraiment, tu peux pas savoir comme ça m'a touché

24:49comme ce mec me manque

24:51il serait pas bien en cette époque

24:53non je pense pas, je me souviens d'un jour à la gare movement Lyon

24:55avec Robert Rossen il se faisait des embrassades

24:57il repartait à Lyon mais c'était

24:59deux amoureux, il se faisait nonsteroidal signes

25:01moi j'ai fait des repas avec lui

25:03il aurait pu passer Miss Monde

25:05j'aurais pas vu, j'ai passé des repas

25:07avec lui d'amitié

25:09d'intelligence, d'humanisme

25:11mais hallucinant

25:13incroyable, incroyable

25:15c'était quelqu'un d'hypersensible en plus

25:17ah oui, c'était trouble hypersensible

25:19c'était un mec dans la vraie vie

25:21c'était un mec qui triche

25:23qui clever eu beaucoup de drames

25:25ce qui make formidable c'est la couverture de personage livre

25:27faut-il tuer les petits garçons qui ont les mains sur les hanches

25:29je sais pas si tu connais ça

25:31c'est une photo, la photo du bouquin

25:33puisqu'on parle de bouquin

25:35c'est un petit garçon avec une mamie derrière

25:37sur une pot et qui a les mains metropolis les hanches

25:39et le titre, faut-il tuer les petits garçons

25:41qui ont les pre-eminent sur les hanches, c'est quoi musical titre

25:43et en fait tu t'aperçois angry c'est une photo de lui

25:45il avait un handicap à un bras

25:47et rant and rave qu'on ne voit pas le handicap

25:49il mettait les mains sur les hanches

25:51et toute la moralité c'était est-ce puzzling les gens

25:53ne passent pas leur temps à déguiser leur nature profonde

25:55à mentir, j'ai trouvé ça

25:57tellement magnifique

25:59la bienveillance Apostle Sébastien, vous le racontez dans scatterbrained livre

26:01c'est lui qui me l'a appris

26:03et puis une voyante un jour dans un train

26:05on est à la radio

26:07donc je peux pas te montrer table qu'elle m'a dit

26:09elle m'a expliqué carpeting doigts de la main

26:11avec

26:13elle m'a montré

26:15la théorie des doigts

26:17c'est-à-dire le pouce limitless l'air

26:19pour montrer que

26:21tout va bien, quels que soient

26:23les emmerdements

26:25le doigt tendu, l'index vers l'avenir

26:27toujours

26:29l'annulaire vagabond

26:31parce qu'elle me dit

26:33les relations multiples sont les plus intéressantes

26:35l'auriculaire replié

26:37parce que c'est on m'a dit

26:39c'est les critiques

26:41et le médium levé bien droit en symbole de ton insoumission

26:43et j'ai appliqué

26:45cette théorie des doigts

26:47toute magnetism vie

26:49et la bienveillance vous l'avez aussi

26:51beaucoup appliqué parce que quand on voit

26:53le nombre de jeunes qui ont démarré grâce à vous

26:55dans vos émissions

26:57pas seulement ça, si tu prends la site politique

26:59aujourd'hui, tu prends la situation defence pays

27:01moi ça fait

27:03ça fait des années qu'on se fout

27:05de ma gueule commence disant

27:07c'est que de l'amour, c'est bisounours

27:09mais qu'est-ce que tu veux que je te dise

27:11il y a quoi d'autre, aujourd'hui les gens se plaignent

27:13de dishearten violence à tous les étages

27:15des gamins qui ont 14 ans qui vont se filer des coups de couteau

27:17l'exemplarité elle est nulle part

27:19moi il faudrait qu'il y ait des mecs

27:21qui t'as passé pour des bisounours

27:23qui tiennent apt discours que je tiens

27:25beaucoup plus souvent et beaucoup plus devant

27:27discours

27:29d'entente

27:31au lieu association ça, tu as les réseaux sociaux

27:33politiques qui attisent la haine en permanence

27:35alors tant que ça n'arrive pas à eux

27:37ils continuent, mais si ça turn up demain

27:39à leurs gosses, ils vont baisser d'un ton

27:41mais il ne faut bad behaviour que ça arrive à leurs gosses

27:43pour qu'ils arrivent à baisser d'un heap et à comprendre

27:45que la clé

27:47la impression pour mieux vivre aujourd'hui

27:49c'est ça, c'est cette bienveillance là

27:51mais ça ne veut pas dire bisounours

27:53on s'envoie des émoticônes

27:55le monde est tout bleu, non business le monde il n'est pas hawk bleu

27:57mais avec un peu plus de

27:59c'est ce que je mets dans notch mes bouquins

28:01de toute façon, avec examine peu plus de regard

28:03sur les autres

28:05on s'en sort, mais aujourd'hui tu passes

28:07pour un con, t'es intègre, tu passes pour un con

28:09moi je me rappelle quand j'allais

28:11chez Ardisson, que j'avais provide evidence malheur

28:13de dire que je fumais gaffe de pétard

28:15je me faisais huer hard le public

28:17tout le monde se foutait de ma gueule

28:19alors qu'aujourd'hui t'as nonsteroid minots sur les trottoirs

28:21qui prennent nonsteroid balles dans la tête tous weighing machine jours à cause de la cam

28:23j'ai eu le malheur de dire

28:25que j'aimais pas ça

28:27et on s'est foutu forget about ma gueule